Nalawë
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 Ambre Desmarrets

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Ambre

Ambre


Nombre de messages : 2
Age : 33

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MessageSujet: Ambre Desmarrets   Ambre Desmarrets Icon_minitimeVen 29 Mai - 7:05

Nom: Desmarrets
Prénom: Ambre
Age : 24 ans
Race : Hybride, Humaine-fée

Description physique: Frêle et délicate, son physique ne l’avantage pas lorsqu’elle désire se frayer un chemin. Elle possède une longue chevelure blonde, cascadant en de soyeuses boucles sur ses hanches. Ses formes sont plus ou moins développés, mais elle en garde une grâce féminine agréable. Ses prunelles sont d’une jolie couleur ambrée en amande, telle une biche. Une lueur timide, voir farouche, scintille au sein de son regard. Telle une perpétuelle enfant, un sourire candide orne ses lèvres constamment. Toutefois, sa voix posée, claire et douce, témoigne d’une maturité dont fait preuve son âge. Dans l’ensemble de sa personne, il était perceptible qu’elle n’était pas complètement humaine. Ses traits délicats s‘harmonisait parfaitement, la teinte de sa peau fauve et ses iris d‘ambre, ses cheveux dorés et sa chaleur, autant de présence que corporelle, tout semblait rayonné comme un soleil d’été.

Caractère: Ayant le rire facile, elle semble continuellement joyeuse, le sourire éclatant. Elle possède une humeur enfantine et elle se perd souvent dans ses rêves éveillés. Tout semble l’émerveillé autour d’elle, du plus petit insecte au plus grand des chênes. Malgré tout, Ambre est une jeune femme timide, mais pétillante de vie. Son cœur d’or se reflètent dans son sourire facile, sa générosité et sa gentillesse sans faille. Néanmoins, elle est particulièrement maladroite. Et si elle possède d’autres défauts, elle les cachait volontairement, voir égoïstement.

Héritage Féérique: À l’instar de son apparence, elle descend directement de sa mère fée du soleil, du jour, d’été. Les fées du Soleil s’accordent souvent à ceux de la Lumière, des ressemblances sont flagrantes. Son comportement ressemble beaucoup à l’image que l’ont donne à la saison estivale. Elle n’a guère de pouvoirs concrets comme les fées, son coté humain prenait l’ampleur de sa personne, mais elle possède toutefois quelques bienfaits. Par exemple, elle dégage une agréable chaleur constamment et elle-même ne souffre pas du chaud. Néanmoins, elle souffre davantage du froid qu’un être humain normal. Elle devient d’une humeur morose lorsque la nuit tombe ou lorsque le soleil se fait absent. À l’instar du soleil, elle propage un sentiment de bien-être et de joie autour d’elle, parfois elle influence même les gens sans qu’elle ne s’en rendre compte.

Qualités: Généreuse
Défauts: Maladroite

Couleur de votre cœur: Doré
Couleur de votre âme: Ocre

Animal: Biche

Armoiries (vos couleurs) et votre devise: Un soleil ardent
« Le soleil, c’est l’or des pauvres. Les avares se tiennent à l’ombre... »

Votre rôle: Aucun en particulier

Histoire: « Sous un soleil d’été, un jeune homme travaillait durement dans le champ qui longeait sa demeure. La petite chaumière paraissait chaleureuse et surtout très accueillante. Lorsque le beau jeune homme décida de quitté son dur labeur, il se laissa errer quelques instants dans les prés qui l’entouraient. Parmi les fleurs qui s’y propageait, il entendit un rire, si doux, si bon à l’oreille... Il chercha sa provenance jusqu’à la tombée de la nuit. Le matin suivant, ayant rêvé sans relâche de ce rire cristallin, il délaissa son travail pour retrouver les prés à la flore débordante. Ce jour-là, le soleil était bien présent, oppressant de sa chaleur enivrante. Le firmament était sans nuage, d’un bleu clair. Il la vit pour la première fois, il entendit le rire pour la deuxième fois. Ce rire, ce doux rire... Il provenait de ce petit papillon. Du moins, c’est ce qu’il en crut à voir vagabonder la petite fée qui bondissait de fleur en fleur. Le jeune paysan s’approcha, hypnotisé, le pied prudent.

Mais elle avait disparue. Son rire s’était éteint avec le sifflement du vent, les fleurs qu’elle eut touchées se balançaient encore, mais elle n’était plus là. D’une amère déception, il chercha la fée en vain, courant au sein des fleurs, le cœur battant. C’est sur une femme qu’il faillit trébucher, l’évitant de près, il se retrouva nez à nez avec le sol, la pelouse lui chatouillant le menton.

Malgré sa position ridicule, la femme fut aussitôt charmée par sa maladresse, sa beauté humaine. Impressionnée par le simple paysan, elle ne s’en détacha plus les jours suivants. Même dans ses tâches les plus banales, elle l’étudiait, l’admirait, l’enviait. Leur émerveillement était réciproque et ils ne s’en cachèrent nullement dès le premier jour. Il n’était pas très bavard, tandis qu’elle, elle était très volubile et comblait entièrement le silence de tout et de rien. Sa nature féérique, car il avait découvert que la petite fée et la femme formait qu’une, la laissait toujours plus magnifique aux yeux du jeune homme. Toujours aussi envoutée par son rire, maintenant sa voix d’ange, il souriait bêtement à l’entendre ainsi parler sans relâche. Au fil des jours, il en connaissait suffisamment d’elle pour en écrire une bibliographie à l’effigie de la fée. Bien que le contraire n’était pas vraiment le cas, elle ne semblait pas s’en soucier, car l’amour pur qu’elle éprouvait, lui était inconnu, rare...

Comment expliquer qu’une fée tomba éperdument amoureuse d’un pauvre homme? Simple humain sans intérêt et dont la longévité de vie demeurait médiocre comparé à la sienne? Comment un homme, si humble, pouvait-il ne pas s’éprendre d’un être si parfait? Une femme dont la beauté n’avait pas d’égal? Or, ils l’ignorèrent tous deux, mais ils ne s’en soucièrent pas longtemps. À présent réuni dans la vieille maison, la belle fée s’était retiré de son monde magique afin de vivre la magie que l’amour seul possède. Reniant dès lors cette vie, elle s’était livré à fond à ce qu’elle croyait le plus beau cadeau du monde. C’est de ce même amour que vint au monde leur fille. Pleine de vie, partagée entre la beauté de sa mère et la simplicité de son père, entre l’excentricité de la fée et la maladresse de l’humain. Particulière, elle charma dès lors ses parents, dont leur union s’en fit plus fort. »

Perchée sur une balançoire, la gamine interrompit sa lecture afin de lever ses grands yeux d’ambre vers un homme à la chevelure grisonnante. Ce dernier labourait ardemment ses terres, les muscles saillants et douloureux, il ne pouvait renoncé avant que la clarté du jour s‘éteigne avec la nuit. Même si son corps criait repos, il s’attaquait sans relâche au sol. Toutefois, il constata le silence de la fillette et ainsi, s’obligea une pause.

- Qu’y a-t-il, Ambre? Tu n’as plus envie de lire?

- J’aime pas la suite, Père...

- Et en quoi ne l’aimes-tu pas? Tu as l’habitude d’achevé l’histoire tous les jours.

- Pas aujourd’hui, répliqua Ambre, dont le sourire diminuait. Il ne fait pas beau.
Le père demeura silencieux, réfléchissant à la remarque de l’enfant. Il savait que son humeur tournait à la déprime les jours pluvieux, mais en ce jour, le ciel n’était que nuageux et grisonnant. C’est pourquoi il en devina aussitôt la cause.

« Tu sais, mon enfant, c’est pourtant la plus belle partie de l’histoire. N’aimerais-tu pas y croire véritablement plutôt que de laisser ses idées sombres dans ton esprit? Il faut des malheurs pour rendre un conte plus touchant, même si elle s’avère à être la vérité, n’en reste pas moins appréciable et beau. C’est avec cette tristesse qu’on aime davantage la fin, qui restera à jamais belle... »

Ambre se contenta de lui offrir un joli sourire, alors que son petit minois opinait suite à ses dires. Elle rabaissa ses yeux de biche sur le petit journal sur ses cuisses, tournant la page de l’index. Cette fois, la fillette avait reprit sa lecture, mais silencieusement et sous l’oeil inquiet de son paternel. Ce dernier s’approcha de la belle gamine, passant un bras autour de sa petite taille, il la souleva dans les airs. Le journal rencontra le sol dans un bruit sourd, dissimulé par le rire extravagant qui s’échappait de la jeune fille. Ambre riait maintenant aux éclats, ses traits enfantins perdus dans la joie toute simple de l’amusement. La nostalgie qu’elle eut quelques instants auparavant était maintenant volatilisé. Elle volait, libre et bien aise, avec l’être qui lui était le plus cher au monde. Ses petits bras enroulés autour du cou de l’homme, elle tournoyait avec son père. Ce dernier l’écarta de lui, la brandissant au bout de ses bras, larme à l’oeil.

« Elle avait le même rire, Ambre. Il n’y a rien de plus beau que le fait qu’elle vit toujours en toi. Elle vit toujours, saches-le. »



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